MUCC à l'Elysée Montmartre - 23/10/09
[Petite aparté sur la dédicace, pour mal commencer: MERDE LES GRUGEURS! Ceux qui veulent pas faire la queue ou être avec leurs amis, débrouillez-vous pour arriver plus tôt!]
Bref.
Arrivée dans la file vers 16h, je me suis tapée l'incruste avec deux lycéennes tout droit venues de Marseille. On s'est perdues de vue à l'entrée, mais c'était quand même bien sympa de pas faire la queue toute seule (merci à vous!). Ouverture des portes à 18h30 pile poil, la queue avance assez vite et de façon assez organisée.
Je ne connaissais pas l'Elysée Montmartre et première surprise, ce n'est qu'une vaste salle avec une scène. Dommage pour ceux qui préfèrent se mettre un peu en hauteur, il faudra supporter la fosse. Le stand goodies et un bar se trouvent au fond, mais je file trouver ma place parmi le monde qui afflue autour de la scène.
19h30, une heure après l'ouverture des portes, le public commence à s'impatienter et saisit tous les prétextes pour le montrer (et pour les râleurs qui n'aimaient pas qu'on gueule alors que le groupe n'était pas encore là: relax, faut pas se prendre trop au sérieux, on est venus pour s'amuser :)). On piétine, on a chaud, mais il faudra attendre encore plus d'une demie-heure pour que les lumières s'éteignent et que le show commence enfin.
Dés que le groupe arrive, c'est l'hystérie, je me retrouve propulsée dix mètres plus près de la scène. La première chanson commence, et c'est parti pour une heure et demie de concert dans une ambiance complètement bordélique
Dés le début, le ton est donné: MUCC ne fera pas ce concert devant son public mais avec son public. Tatsurou incite la foule à reprendre les chœurs sur Houkou et Hide&Seek. Puis vient Ageha, visiblement très attendue, et dont les paroles sont également bien reprises.
On remarque déjà à ce moment-là qu'on entend assez mal le chant de Tatsurou; malgré tout, ça ne pose pas vraiment de problème sur Saishuu Ressha: la chanson a complètement enflammé les fans, qui ont pu se faire un plaisir de montrer qu'ils connaissaient les paroles sur le bout des doigts (ou presque).
Après Fukurou no Yurikago, Tatsurou sort son harmonica. On s'en était douté quand on avait vu le staff accorder la contrebasse, mais c'est confirmé: on a le droit à FUZZ. Dés les premières notes, ça saute, ça crie et ça se bouscule dans une belle pagaille. De nouveau, les chœurs du refrain sont repris par le public, tellement bien que le chant en devient inaudible.
Le concert suit son cours, alternant des chansons "bourrines" avec des chansons plus calmes, mais toujours avec tellement de pogo qu'on ne pouvait même plus headbanguer tranquillement (c'est pas faute d'avoir essayé, mais je me suis mangée un pogoteur dans le nez, ça m'a vite convaincue d'arrêter).
Sur hanabi, Tatsurou essaye de faire taire le public, avec un succès très mitigé. Mais si on fait abstraction du bruit ambiant, cet a cappella était vraiment très beau.
Au fur et à mesure des chansons et malgré toute l'énergie qu'il y met, on voit tout de même qu'il a de plus en plus de mal à sortir ses aigus. Yukke, qui vient régulièrement se rapprocher de la foule avec un petit sourire, et Miya, toujours concentré, échangent leur place ou se réunissent sur le devant de la scène, pendant que Tatsurou s'en va grimper sur les enceintes.
Le groupe accepte un bouquet de rose, puis un drapeau dans lequel Tatsurou s'enveloppe sous les acclamations des fans.
Toujours communicatif, chaque membre essaye de parler français, mais c'est à coup de "motherfucker" que Tatsurou préfère interpeller le public.
Pour la dernière chanson avant le rappel, tout le monde doit s'asseoir, apparemment avec quelques difficultés près de la scène. Le décompte est donné par Satochi et Tatsurou: 3, 2, 1... Jump! Comme s'il y avait besoin d'un stimulant supplémentaire, le concert repart de plus belle, dans un bordel monstre.
Fin de la chanson, le groupe quitte la scène, pour revenir quelques minutes plus tard habillé des T-Shirts de la tournée.
Petit clin d'œil à 2007? Peut-être. Les premières notes de Flight retentissent, et bien qu'elle soit loin d'être l'une des plus appréciées, elle est très bien accueillie par la salle. Rajeuni de dix ans, Tatsurou se met à courir partout sur scène en faisant l'avion. Il en profite au passage pour donner un petit coup de pied à Yukke, qui fait semblant d'être choqué avant de faire ce petit sourire dont les bassistes semblent avoir le secret (j'me comprends).
Pour conclure, le groupe entame Libra dans l'enthousiasme général. Malheureusement, la fin de la chanson sera presque uniquement instrumentale, Tatsurou étant plié en deux, à genoux sur la scène, apparement suite à un coup de basse qu'il se serait pris dans la tronche.
Le concert se termine alors. Le groupe fait ses adieux, distribue médiators et baguette puis s'en retourne en coulisse. Les lumières se rallument, et la salle commence à se vider.
Pour moi, c'est le moment de filer au stand goodies, quasiment vide puisque la plupart des gens ont dû faire leurs emplettes avant que le concert ne commence. J'arrive, je paye, et en cinq minutes, je repars avec un sweat, un poster, et "des souvenirs pleins la tête".
Bref.
Arrivée dans la file vers 16h, je me suis tapée l'incruste avec deux lycéennes tout droit venues de Marseille. On s'est perdues de vue à l'entrée, mais c'était quand même bien sympa de pas faire la queue toute seule (merci à vous!). Ouverture des portes à 18h30 pile poil, la queue avance assez vite et de façon assez organisée.
Je ne connaissais pas l'Elysée Montmartre et première surprise, ce n'est qu'une vaste salle avec une scène. Dommage pour ceux qui préfèrent se mettre un peu en hauteur, il faudra supporter la fosse. Le stand goodies et un bar se trouvent au fond, mais je file trouver ma place parmi le monde qui afflue autour de la scène.
19h30, une heure après l'ouverture des portes, le public commence à s'impatienter et saisit tous les prétextes pour le montrer (et pour les râleurs qui n'aimaient pas qu'on gueule alors que le groupe n'était pas encore là: relax, faut pas se prendre trop au sérieux, on est venus pour s'amuser :)). On piétine, on a chaud, mais il faudra attendre encore plus d'une demie-heure pour que les lumières s'éteignent et que le show commence enfin.
Dés que le groupe arrive, c'est l'hystérie, je me retrouve propulsée dix mètres plus près de la scène. La première chanson commence, et c'est parti pour une heure et demie de concert dans une ambiance complètement bordélique
Dés le début, le ton est donné: MUCC ne fera pas ce concert devant son public mais avec son public. Tatsurou incite la foule à reprendre les chœurs sur Houkou et Hide&Seek. Puis vient Ageha, visiblement très attendue, et dont les paroles sont également bien reprises.
On remarque déjà à ce moment-là qu'on entend assez mal le chant de Tatsurou; malgré tout, ça ne pose pas vraiment de problème sur Saishuu Ressha: la chanson a complètement enflammé les fans, qui ont pu se faire un plaisir de montrer qu'ils connaissaient les paroles sur le bout des doigts (ou presque).
Après Fukurou no Yurikago, Tatsurou sort son harmonica. On s'en était douté quand on avait vu le staff accorder la contrebasse, mais c'est confirmé: on a le droit à FUZZ. Dés les premières notes, ça saute, ça crie et ça se bouscule dans une belle pagaille. De nouveau, les chœurs du refrain sont repris par le public, tellement bien que le chant en devient inaudible.
Le concert suit son cours, alternant des chansons "bourrines" avec des chansons plus calmes, mais toujours avec tellement de pogo qu'on ne pouvait même plus headbanguer tranquillement (c'est pas faute d'avoir essayé, mais je me suis mangée un pogoteur dans le nez, ça m'a vite convaincue d'arrêter).
Sur hanabi, Tatsurou essaye de faire taire le public, avec un succès très mitigé. Mais si on fait abstraction du bruit ambiant, cet a cappella était vraiment très beau.
Au fur et à mesure des chansons et malgré toute l'énergie qu'il y met, on voit tout de même qu'il a de plus en plus de mal à sortir ses aigus. Yukke, qui vient régulièrement se rapprocher de la foule avec un petit sourire, et Miya, toujours concentré, échangent leur place ou se réunissent sur le devant de la scène, pendant que Tatsurou s'en va grimper sur les enceintes.
Le groupe accepte un bouquet de rose, puis un drapeau dans lequel Tatsurou s'enveloppe sous les acclamations des fans.
Toujours communicatif, chaque membre essaye de parler français, mais c'est à coup de "motherfucker" que Tatsurou préfère interpeller le public.
Pour la dernière chanson avant le rappel, tout le monde doit s'asseoir, apparemment avec quelques difficultés près de la scène. Le décompte est donné par Satochi et Tatsurou: 3, 2, 1... Jump! Comme s'il y avait besoin d'un stimulant supplémentaire, le concert repart de plus belle, dans un bordel monstre.
Fin de la chanson, le groupe quitte la scène, pour revenir quelques minutes plus tard habillé des T-Shirts de la tournée.
Petit clin d'œil à 2007? Peut-être. Les premières notes de Flight retentissent, et bien qu'elle soit loin d'être l'une des plus appréciées, elle est très bien accueillie par la salle. Rajeuni de dix ans, Tatsurou se met à courir partout sur scène en faisant l'avion. Il en profite au passage pour donner un petit coup de pied à Yukke, qui fait semblant d'être choqué avant de faire ce petit sourire dont les bassistes semblent avoir le secret (j'me comprends).
Pour conclure, le groupe entame Libra dans l'enthousiasme général. Malheureusement, la fin de la chanson sera presque uniquement instrumentale, Tatsurou étant plié en deux, à genoux sur la scène, apparement suite à un coup de basse qu'il se serait pris dans la tronche.
Le concert se termine alors. Le groupe fait ses adieux, distribue médiators et baguette puis s'en retourne en coulisse. Les lumières se rallument, et la salle commence à se vider.
Pour moi, c'est le moment de filer au stand goodies, quasiment vide puisque la plupart des gens ont dû faire leurs emplettes avant que le concert ne commence. J'arrive, je paye, et en cinq minutes, je repars avec un sweat, un poster, et "des souvenirs pleins la tête".